Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Récession : l'aveuglement des élites médiatico - politiques

13/09/2008 13:52

Récession : l'aveuglement des élites médiatico - politiques


http://blog.nicolasdupontaignan.fr/




Alain Duhamel : la faute aux nonistes

13/09/2008 13:44

Alain Duhamel : la faute aux nonistes


Dans une chronique publiée le 11 septembre, Alain Duhamel fustige la soi-disant « myopie des souverainistes » qui seraient responsables, pêle-mêle, du chômage, du retour des nationalismes belliqueux, du désamour croissant des citoyens pour Bruxelles – du mauvais temps aussi ? Car si les choses vont mal, ce serait que l’Europe intégrée n’a pas pu avancer suffisamment à cause d’eux.

Ce faisant, l’éditorialiste met en application la célèbre théorie du bouc-émissaire, coutumière des idéologies, celle des grands procès soviétiques des années 50, comme celle des ultralibéraux pour qui il y a toujours trop d’Etat.

Si les résultats de l’URSS n’étaient pas à la hauteur, c’était bien la faute de ceux qui ne pensaient pas comme le PC. Si le capitalisme est en crise, c’est bien sûr car le marché n’est jamais assez pur et parfait !

Quand Alain Duhamel comprendra-t-il que c’est justement son raisonnement idéologique sur l’Europe, diabolisant toute pensée différente sur la manière de la bâtir, qui conduit de plus en plus d’Européens à rejeter son discours simpliste et caricatural ?

Car sa profonde erreur d’analyse est de croire ou de faire croire qu’il n’y a qu’une façon de bâtir l’Europe : la sienne, celle de son époque, supranationale à la Jean Monnet.

Le choix serait donc réduit entre le projet d’Union européenne défendu par Mrs Barroso, Trichet et Cie ou le retour à l’état de « jungle nationaliste ».

M. Duhamel ne comprend malheureusement pas qu’en soutenant à bout de bras une petite caste qui veut imposer une organisation non démocratique, une pensée économique dépassée et un alignement militaire sur les Etats-Unis, il est en train justement de faire détester l’Europe par nos concitoyens.

Pourtant, il y a plusieurs façons possibles de construire l’Europe.

Est-on obligé d’adhérer à l’OTAN et de combattre en Afghanistan pour être européen ? Non, M. Duhamel.

Est-on obligé de supprimer tous les services publics pour être européen ? Non. Est-on obligé, au nom de la libre concurrence, d’interdire aux Etats d’investir quand les autres continents du Monde le font, pour être européen ? Non, bien sûr. Est-on obligé de soutenir l’euro cher qui entraîne les délocalisations, pour être européen ? Non, bien sûr.

Les républicains, les gaullistes de gauche ou de droite qui prônent une autre Europe ne saccagent rien du tout, comme le prétend M. Duhamel, avec le sens de la nuance qui le caractérise.

Au contraire, ce sont ses amis qui abîment la belle idée européenne en la dénaturant.

Les Européens jugent sur les résultats et il ne faut pas manquer de culot, comme Alain Duhamel, pour oser affirmer que si la crise américaine se propage chez nous, c’est à cause des nonistes. Ne sommes-nous pas les premiers à avoir alerté l’opinion sur l’impasse économique et sociale à laquelle conduit la direction de la BCE ?

L’euro trop cher, le chômage de masse, la précarisation du travail, les OGM, le choc des civilisations sont aussi le fruit d’un système politique hors-sol sans contrôle démocratique. Le problème n’est pas qu’il n’existe pas de gouvernement fédéral capable d’agir à l’échelle de l’UE tout entière, mais que les 27 pays membres ne forment pas un ensemble économique suffisamment cohérent pour qu’un tel gouvernement existe. On aurait beau soumettre les 27 pays aux mêmes règles contraignantes d’un gouvernement fédéral bruxellois, cela ne marcherait pas davantage, car on ne crée pas une nation par décret. C’est d’ailleurs ce qu’illustrent les faiblesses de l’euro, géré à l’allemande mais appliqué à des pays qui ne sont pas l’Allemagne.

De même, dans un autre domaine, A Duhamel oublie dans son article de rappeler que c’est Bruxelles sous l’influence de Washington qui a alimenté la mécanique infernale de la guerre dans les Balkans en acceptant les séparatismes ethniques.

Amalgamer des personnalités aussi différentes que Fabius, Montebourg, Buffet, Chevènement ou Dupont-Aignan sous le vocable de « souverainistes » est ridicule. Seul le Mouvement pour la France de Philippe de Villiers se revendique de cette étiquette. Prêter à ces « souverainistes » imaginaires le pouvoir prométhéen de provoquer le désamour européen parmi les Européens est tout aussi ridicule. Alain Duhamel allègue que l’UE est démocratique car contrôlée par des gens élus. Dans les faits ce contrôle est bien illusoire. De surcroît, comment parler de démocratie quand le Parlement français adopte le Traité de Lisbonne identique à la Constitution européenne, rejetée par référendum par le peuple ?

L’enjeu n’est pas de choisir entre l’Europe d’un côté et le rejet de l’Europe de l’autre mais de trouver une articulation intelligente entre le cadre national et la solidarité européenne.

Seule, à mon sens, une Europe des Nations où les élus et les peuples contrôlent les mises en commun des compétences peut rétablir le lien démocratique.

Seule une Europe à la carte autour de projets concrets (scientifique, industriel, environnemental) peut permettre aux peuples européens de s’imposer dans la mondialisation face à la Chine, les Etats-Unis, le Japon, l’Inde.

Enfin, seule une Europe respectueuse des différences peut permettre aux peuples d’Europe d’être heureux ensemble.

Ouvrons au moins le débat, M. Duhamel !

Nicolas DUPONT-AIGNAN
Député gaulliste de l’Essonne
Président de Debout la République






La France laïque

12/09/2008 08:45

La France laïque


Juste ce petit coup de gueule contre l'arrivée du cardinal Joseph Radsinger autrement nommé Benoît 16, pape de son état. Ce n'est pas tant sa venue qui me gêne, mais le comportement de notre cher gouvernement UMP déployant les ors de la République : accueil de Nicolas Sarkozy, déploiement de service d'ordre aux frais du contribuable... bref, la France se couche devant le Vatican qui la considère toujours comme sa fille aïnée. Il est grand temps que l'esprit de Valmy revienne aux citoyens de notre chére République, la France ne doit plus s'occuper de religion quelle qu'elle soit,  les responsables religieux de tous ordres doivent retourner à la place qui leur est dûe : la sphère privée. Ils ne doivent plus en sortir, la "chose publique" ou "Res publica" étant l'apanage de notre chére République.

PW






« La France de Sarkozy est dans l’impasse »

09/09/2008 18:08

« La France de Sarkozy est dans l’impasse »


Le Parisien - lundi 8 septembre 2008

 

NICOLAS DUPONT-AIGNAN, président de Debout la République

Votre mouvement est très discret. A quoi sert-il ?

 

 

Nicolas Dupont-Aignan. Le rôle de Debout la République , parti gaulliste et républicain, n’est pas de jeter de l’huile sur le feu mais de tout faire pour que le gouvernement change sa politique et respecte ses engagements électoraux de 2007. Notamment en matière de baisses d’impôts. Notre université d’été avait pour thème : « Comment sortir de la régression économique et sociale ». Parmi les invités, le démographe Emmanuel Todd nous a expliqué pourquoi la France de Sarkozy est dans l’impasse, et comment on pourrait en sortir.

 

 

Todd, l’inventeur de la fameuse fracture sociale : vous allez pêcher les idées à gauche ?

 

 

Puisque la gauche caviar travaille avec la droite bling-bling au service des gros intérêts, je ne vois pas pourquoi les républicains de droite ne travailleraient pas avec des républicains authentiques qui ont la nausée devant la complaisance du PS.

 

 

Philippe de Villiers vous lance un appel au regroupement en vue des élections européennes de 2009. Que lui répondez-vous ?

 

 

Avant de parler des personnes, parlons des idées. Les seize millions de Français qui ont voté non au référendum de 2005 veulent des solutions, pas une liste d’euro-ronchons. C’est pourquoi je veux présenter un projet très concret qui change radicalement de ce qu’on a vu auparavant et qui dessine une autre Europe. Les européennes seront un référendum pour les Français qui en ont été privés lors de l’adoption parlementaire du traité de Lisbonne.

 

 

Envisagez-vous une plate-forme regroupant des partis de droite comme de gauche, comme le camp du non en 2005 ?

 

 

C’est mon espoir. Si nous sommes capables de présenter le vrai plan B, alors nous pourrons bouleverser le système et offrir enfin une vraie alternative au PS, à l’UMP et même au MoDem qui sont résignés face à Bruxelles et à la mondialisation. Nous lançons une souscription pour demander à ceux qui ont voté non de nous aider financièrement, de verser 5 € pour nous permettre de faire une belle campagne. Aux Français de savoir s’ils veulent maîtriser leur destin ou continuer à le subir.

 

 

 

 

 






Face aux "non partis" que sont l'UMP et le PS

05/09/2008 17:53

Face aux


05/09/2008 12h21 GMT - PARTIS-DLR-UMP - Nouvelles de France - AFP

PARIS, 5 septembre 2008 (AFP) - Le député Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République, a estimé vendredi que son ancien parti, l’UMP, est devenu "un non parti", "un organisme quasiment mort", tout comme le PS.

"Il n’y a plus de président de l’UMP, il est à l’Elysée le président de l’UMP", a déclaré M. Dupont-Aignan sur la radio BFM accusant Nicolas Sarkozy "de tout vouloir concentrer" entre ses mains.

"Il ne se passe plus rien, et surtout l’UMP est devenue un non parti, ce qui est assez grave d’ailleurs quand on voit que le PS aussi", a aussi affirmé le député de l’Essonne.

Les deux grandes formations "qui prétendent monopoliser la vie politique, et qui la monopolisent de fait, finalement sont en train de devenir des organismes quasiment morts", "des syndicats d’élus", a-t-il ajouté.

Selon M. Dupont-Aignan, "beaucoup de maires, de militants UMP nous rejoignent" car ils estiment qu’"il ne se passe plus rien à l’UMP", que "c’est devenu l’encéphalogramme plat".

Il a affirmé que, Debout la République, qui tient son université d’été ce week-end à Dourdan (Essonne) sur le thème "comment sortir de la régression économique et sociale", est sur le point d’atteindre "10.000 militants".

swi/szb/pta

© 1994-2008 Agence France-Presse






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